Deuxième édition du Challenge StudyPrint

PresseEdition.fr lance la deuxième édition du  Challenge StudyPrint, un concours pour les élèves des Ecoles et formations en imprimerie

PresseEdition.fr, le site d’actualités des médias, de l’édition, de la communication et de la communication imprimée, lance la deuxième édition du  Challenge StudyPrint, un concours pour les élèves des Ecoles et formations en imprimerie, placé sous le haut patronage de l’UNIIC.

Ses objectifs : Valoriser la qualité de l’enseignement, la communication imprimée, le talent des élèves des écoles et apporter son aide sous forme de travaux à une association caritative : après l’association Laurette Fugain, c’est la Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles (FFAC), qui bénéficiera des travaux imprimés par les élèves de l’établissement lauréat*

Les élèves et l’établissement vainqueurs du Challenge StudyPrint imprimeront au profit de Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles FFAC, 1 flyer et  1 marque page.

Un jury de professionnels* des médias, de l’édition, de la communication se réunira à Paris fin  mai 2018 pour élire les lauréats. Proclamation des résultats en juin 2018.

  • Rappel : les Lauréats 2017 :

1er Prix Lycée professionnel Coëtlogon, à Rennes

Les élèves du Lycée qui ont participé au ChallengeStudyPrint by PresseEdition

La classe de Terminale RPIP (Réalisation de produits imprimés et plurimédia, option productions graphiques) :

Nolwenn BATEL, Laurelenn BAZOGE, Ludivine BERNARD, Grégory BILLARD, Mathias BLANCHET, Lucas CHEVALIER, Tanguy CHOPINEAU, Antoine CROSNIER, Marius DANON, Enerik DECLERCK, Noémie DENIS, Marie DOLAIS, Loreleï FOURAGE, Miguel GOURDEL, Solen HENRY, Guillaume LE REST, Jeremi LERAT, Adao MATOS, Télémaque MENDES-SEFERIADES, Jean-Baptiste SAULNIER, Camille TIREL-GELLA, Alexandre TIZON, Etienne TURPIN et Hugo WIESNIEWSKA

La classe de Terminale RPIP (Réalisation de produits imprimés et plurimédia, option productions imprimées) :

Tony CHRETIEN, stefen DUAULT, Gianni GILI, Emmanuelle GOISSET, Emilie GRONDIN, Ferdi KUYRUK, Alexandre LANGLOIS, Mélissa LEON, Esthérina LORCY, Riwan MAHO, Mathis MARTIN, Maxime MEAR, Agathe MESSINA, Alexis MOREAUX, Antoine PRIOUL, Valentin RICHOUX, Hugo TABARIN, Kevin TCHIZINGA et  Andy VERGOS

Leurs enseignants :

Laurence COJEAN Laurence et Romin BANDON

2e Prix Ex-aequo

Lycée Edouard Branly, Châtellerault

Les professeurs :

  • Alexia RIBEIRO GOMES
  • Karine RICHARD
  • Aline RENARD

Les élèves :

  • Estelle NAUDIN Estelle : Terminale Production Graphique
  • Quentin DUMAS Quentin : Terminale Production Graphique
  • Raphaël RAMOS-HERMOSO Raphaël : Terminale Production imprimée
  • Dylan MARCOTTE : Terminale Production imprimée

2e Prix Ex-aequo

Lycée Gutenberg, Illkirch

6 élèves de terminale BAC PRO RPIP TIG2

  • Oriane EHRHARD [PG] + Laurent RAMIN [PI]
  • Anaïs FERREZ [PG] + Angie HIMMEL [PI]
  • Zoé BOTIN GROSJEAN [PG] + Lucile SAENGER [PI]
  • Référent principal Hervé Jarnoux (enseignant productions imprimées imprimeur)
  • Référent secondaire Bettina Muller (enseignant productions graphiques >prépresse)
  • Référent concours Magalie Gaschy (professeure-documentaliste)

** Le Jury 2017

  • Dominique AYMARD, Directeur des productions industrielles

MONDADORI

  • Christian BAZAUD, Responsable des productions

GROUPE KORYO

  • Gérard COCHELIN, Directeur technique SAPPI
  • Stéphane DESPREZ, Graphiste indépendant

Association LAURETTE FUGAIN

  • Jean-François Farkas, Responsable Academy & Support Central National – Academy & LCC Support Manager | Agfa Graphics France

Philippe FIOL, Président du SIPG

  • Eric GANDY, Responsable des éditions

Groupe INFOPROMOTIONS

  • Joël HUGONNET

PDG, ADDIT/PUBLI RELAIS

  • Jean-Marc LEBRETON, Consultant Livres
  • Daniel LELONG, Ancien responsable technique IN
  • Pascal LENOIR, Président de la CCFI

Directeur de la production, Groupe GALLIMARD

  • Nicolas PERRIER, Directeur de la fabrication

GROUPE EYROLLES

  • Gilles PELTIER

Responsable du développement et des relations avec les régions pour l’UNIIC, Directeur de l’IDICG

  • Frédéric sauzé, directeur de fabrication, groupe HACHETTE LIVRE

 

Responsable du projet :

David Dussausaye, Chef de rubriques de PresseEdition.fr

0143372010

Quand le Stop Pub prône la dématérialisation…

Combien de temps les « stop-pubeurs » pourront-ils encore nier l’évidence et aller à contre-courant…?

Pas longtemps si l’on en croit les résultats de l’étude indépendante réalisée par IPSOS, laquelle bat en brèche quelques idées reçues. Nous vous invitons d’ailleurs à en utiliser les arguments pour promouvoir les avantages de l’imprimé face à la mauvaise foi de cette nouvelle version d’«étiquette à boites à lettres». 

Print’Story – Episode 27

Jocelyne, retraitée depuis moins d’un an, était en train d’arpenter les ateliers pour saluer ses anciens collègues.

Le caractère paternaliste de l’entreprise faisait que beaucoup de retraités revenaient régulièrement voir le personnel et avaient du mal à couper les ponts. Si son père n’y trouvait rien à redire, Antoine, sans leur interdire totalement l’accès de l’imprimerie, avait dû mettre un frein à ces visites qui distrayaient l’attention des salariés.

Et surtout, certains d’entre eux, même s’ils étaient encore de bon conseil, n’hésitaient pas à donner un petit coup de main à leurs ex-collègues, ce qui n’aurait pas été sans poser problème en cas de contrôle ou d’accident. Antoine le savait et ne voulait pas prendre ce risque.

Antoine décida d’aller la saluer :

  • Bonjour Jocelyne, finalement vous vous ennuyez à la maison… ?
  • Bonjour Monsieur, non pas vraiment mais vous savez ici ça a été aussi un peu ma maison pendant plus de 30 ans…
  • Vous ne regrettez pas tout de même ?
  • Je regrette surtout que ma retraite soit si faible…
  • Finalement vous étiez bien payée ici… ?
  • Au temps où on faisait beaucoup d’heures supplémentaires oui ! D’ailleurs quand je vois le travail que font des intérimaires qui ont bien du mal je voulais vous redire ma proposition de revenir occasionnellement pour les « coups de bourre » ou les travaux un peu spécifiques : ça arrondirait mes fins de mois et pour vous ce serait plus performant.  Nous en avions parlé le jour de mon départ en retraite, souvenez-vous. J’ai une amie qui fait ça chez son ancien employeur et qui passe par une agence d’intérim. C’est plus souple pour elle et son patron.

Pour l’instant il avait toujours préféré utiliser du personnel intérimaire ou confier certains travaux manuels à un Esat proche mais les résultats n’étaient pas toujours à la hauteur de ses attentes et il se demandait finalement si la solution n’était pas là…

Il hésitait cependant car il avait des doutes sur la légalité de l’opération et surtout ne connaissait pas bien les contraintes liées à une telle « réembauche ».

  • Je vais y réfléchir Jocelyne et je vous appellerai pour en reparler. En attendant ne trainez pas trop dans les ateliers…

Mais au fait :

Quelles sont les conditions à respecter en matière de délai pour reprendre une ancienne salariée fraîchement retraitée et cela est-il possible ?

Quelles sont les règles en matière de cotisations sociales en cas de cumul emploi/retraite ?

Quel contrat et statut privilégier et pour quel temps de travail minimum ou maximum ?

Faut-il privilégier les missions d’intérim ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Iris DELLOYE, Responsable du service Juridique et Social de l’UNIIC – iris.delloye@uniic.org

 

Concours dédié aux emballages cartons, papiers et plastiques, imprimés en numérique

Les magazines Etiq&PackMagNuM et Pap’Argus ont le plaisir de vous informer de l’ouverture du concours de l’Emballage Numérique.

CONCOUREZ OU FAITES CONCOURIR VOS CLIENTS !

> Téléchargez les dossiers d’inscription < 

Pour participer au premier concours de l’Emballage Numérique et tenter de remporter l’un des 6 Trophées il vous suffit :

1 – De sélectionner les emballages de votre choix dans les catégories suivantes :

– Agroalimentaire

– Cosmétique / Beauté

– Jeux / Jouets /Emballages cadeaux

– Pharma / Santé

– Vins / Spiritueux / Boissons

– Autres

2 – Puis retournez le ou les dossier(s) à l’adresse suivante :

MPMEDIAS – 4 Rue de la Chaussée -14600 HONFLEUR.

Votre participation (50€ TTC) au concours sera déductible de votre inscription au Forum de l’Emballage Numérique.

Un jury composé de représentants de la presse spécialisée internationale décernera les prix des meilleurs emballages numériques 2017. Les prix seront remis le 18 janvier au soir la veille du 1er Forum de l’Emballage Numérique à Paris.

Pour tous renseignements contactez : Florie au 02 31 81 01 73 ou f.bourdel@mpmedias.com

Print’Story – Episode 26

Cette semaine du handicap était tellement médiatisée qu’Antoine fut bien obligé de se poser la question : où en était-il à ce jour dans le quota imposé par la loi ?

Depuis qu’Henri, un conducteur de plieuse, était parti en retraite il y a deux ans, il n’avait pas réembauché de personne handicapée. Henri avait un handicap auditif ce qui ne l’empêchait pas de faire très correctement son travail et chacun savait qu’il fallait lui parler en face s’il voulait une réponse.

Antoine aurait aimé trouver son alter ego pour le remplacer mais il n’avait pas pris le temps de contacter les organismes spécialisés et avait paré au plus pressé en embauchant un jeune en contrat de qualification. Cathy, son assistante, avait bien attiré à plusieurs reprises son attention sur le cas de Paul, un opérateur CTP qui claudiquait légèrement, mais celui-ci avait toujours répondu que c’était son problème et qu’il n’était pas tenu de fournir d’explications ni une quelconque attestation. Et pourtant tous étaient persuadés qu’il était considéré comme porteur d’un léger handicap.

Antoine avait donné des consignes pour continuer à utiliser les services des Centres d’Aide par le Travail pour l’entretien des espaces verts notamment mais aussi pour des travaux manuels de façonnage, car cela entrait dans le quota obligatoire et minorait les pénalités éventuelles pensait-il…

Il savait bien que la loi allait changer prochainement mais il demanda à son comptable de faire un point avec l’UNIIC.

Mais au fait :

Quelles sont les entreprises concernées par l’embauche des handicapés ?

Quelles sont les proportions à respecter par rapport à l’effectif ?

Quelles sont les pénalités encourues ?

Est-il possible de compenser en utilisant les services des CAT ?

Un employeur peut-il exiger d’un salarié qu’il déclare son handicap ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Claudine Florange, Juriste en Droit Social à l’UNIIC – claudine.florange@uniic.org

Print’Story – Episode 25

Antoine avait finalement décidé de ne pas valider la période d’essai de Natacha, sa nouvelle deviseuse. Non pas qu’elle ne soit pas compétente professionnellement parlant mais elle avait de gros problèmes relationnels tant avec les clients qu’avec les commerciaux et le personnel de l’entreprise. Malgré plusieurs remarques rien ne s’était arrangé, bien au contraire, et il ne voulait pas prendre le risque de se retrouver dans l’obligation de la licencier d’ici quelques mois.  Il n’avait pas détecté cette « instabilité » lors de son embauche mais il se disait que cela risquait d’être bien pire après lorsqu’elle serait embauchée définitivement.

Il avait déjà anticipé pour la remplacer et la personne pressentie, une femme également, était issue d’une imprimerie importante située à 500 km, et souhaitait venir dans la région suite à la mutation de son concubin. Comme elle travaillait sur le même logiciel de GPAO depuis plus de cinq ans et que son entreprise actuelle traitait le même genre de travaux, l’intégration serait rapide et la prise de poste immédiate.

Au niveau salaire ses exigences étaient raisonnables. Le seul problème était qu’elle ne pouvait pas encore fixer la date précise à laquelle elle serait disponible étant tributaire de celle de son concubin, dont l’affectation n’était pas encore calée précisément. Elle souhaitait donc, dans un premier temps, une promesse d’embauche, ce qui lui permettrait de démissionner sans risque le moment venu et aussi de trouver plus facilement un appartement dans la région.

Les postulants avec de l’expérience n’étant pas légion, Antoine ne se voyait pas lui refuser cette promesse d’embauche d’autant que n’ayant pas de date d’entrée précise il ne pouvait pas lui établir un contrat de travail définitif.

Malgré tout il n’était pas à l’aise avec cette procédure…

Mais au fait :

Quelle différence entre promesse d’embauche et contrat de travail ?

Comment distingue-t-on l’offre de contrat de travail de la promesse unilatérale de contrat de travail ?

Quels sont les risques et dans quels pièges ne pas tomber ?

Lire la réponse de l’UNIIC

Réponses élaborées par Iris DELLOYE, Responsable du service Juridique et Social de l’UNIIC – iris.delloye@uniic.org

C’était mieux avant…

Comme elles étaient fraîches et pleines de candeur ces petites annonces du début des années 1900… Qu’il s’agisse d’offres ou de recherches d’emplois ou encore de ventes de fonds de commerce, le Bulletin Officiel de l’Union Syndicale des Maîtres Imprimeurs de France en regorgeait mais proposait aussi de mettre en relation gracieusement les salaries et les employeurs. A l’époque déjà l’USMIF, ancêtre de l’UNIIC, avait le sens du service…

 

Avec l’UNIIC et l’ADEME : TPE & PME Gagnantes sur tous les coûts

L’UNIIC est partenaire de l’opération qui vise à réduire les pertes énergie-matière des entreprises et à faire rapidement des économies

Les entreprises des secteurs de l’industrie, de la distribution et de la restauration sont appelées à s’inscrire afin de bénéficier d’un accompagnement technique financé par l’ADEME et ses partenaires pour faire des économies en optimisant leurs consommations d’énergie, de matières et d’eau et en réduisant leurs productions de déchets. Convaincus de la rentabilité de cette démarche, l’ADEME et ses partenaires consulaires ont conçu un dispositif innovant : ils prennent en charge, dès le départ, le financement de cet accompagnement par un expert (visite sur site, analyse des pratiques, identification des économies possibles, définition du plan d’actions correspondant, suivi sur un an et évaluation). Si l’entreprise identifie des économies récurrentes suffisamment importantes, il lui est demandé de contribuer au fonds d’intervention mis en place par l’ADEME, à un niveau forfaitaire largement inférieur à ces économies annuelles.

Notons que des imprimeurs adhérents de l’UNIIC et/ou labellisés Imprim’vert, engagés dans cette démarche et mis en avant au titre d’entreprises témoins, ont dégagé des gains très nets :

  • Quo Vadis (imprimerie offset et façonnage de couvertures, basée en Loire-Atlantique et spécialiste de la fabrication d’agendas) a pu économiser 357 k€ sur le coût complet des déchets en réduisant à la source les pertes de papier.

  • Lithobru (imprimerie offset feuilles et rotative offset, spécialiste reconnu de l’étiquette basé à Merpins, près de Cognac) a dégagé 13 k€ d’économies par an en travaillant sur les eaux de mouillage.

  • Art & Caractère (imprimerie offset de la région toulousaine, revendiquant une approche “artisanale” du métier, quand bien même compte-t-elle 100 salariés) a économisé 4,6 k€ par an en travaillant à la réduction des déchets émis.

  • Envel’Offset (imprimerie offset spécialiste de l’enveloppe vierge et personnalisée, située en Seine-et-Marne) a réduit sa consommation électrique de 55 %.

Et si vous mettiez à contribution vos propres opportunités d’optimisation énergétique et de gestion des matières & déchets ?

Renseignements : matthieu.prevost@uniic.org

Télécharger la plaquette d’information ADEME

Journaux et radios opposés à une dérégulation de la pub télé

Selon Stratégie News : “Les fédérations professionnelles de la presse écrite (SPQN, FPPR, UPREG, FNPS, SEPM), le pôle radio du groupe Lagardère (Virgin Radio, Europe 1 et RFM), le syndicat des radios indépendantes (Sirti) et l’Union de la publicité extérieure se sont opposées catégoriquement jeudi 2 novembre à tout nouvel assouplissement des règles encadrant la publicité TV, qui font l’objet d’une consultation lancée par le gouvernement. Ces organisations arguent que “tout nouvel assouplissement” ne ferait, comme les précédents (tels que l’ouverture progressive de la publicité pour la distribution et le cinéma, de 2003 à 2007), qu’opérer un “transfert massif” des recettes publicitaires des médias traditionnels vers les chaînes de télévision, sans faire croître globalement le marché publicitaire français”. Elles emboîtent ainsi le pas à l’UNIIC qui, le 26 octobre dernier, vous annonçait avoir interpellé les pouvoirs publics à ce sujet. À suivre toujours…

UNIIC Grand-Ouest : “Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin”

Des innovations numériques pour les imprimeurs du Grand-Ouest

Lier les nouvelles technologies et solutions numériques au papier est l’un des défis que doivent relever quotidiennement les professionnels des Industries Graphiques.

À l’initiative de Denis Olivry, chef des Travaux du lycée et de Jérémie Séjourné, président de l’UNIIC Grand-Ouest (Bretagne – Pays de la Loire) jeudi 19 octobre, Imprimeurs, Routeurs, Façonniers, Agences du Prépresse…  se sont intéressés aux nouveautés proposées par une dizaine de fournisseurs. Parmi eux Heidelberg, Ricoh, SwissQprint,  CP Bourg et le fabricant rennais Kala ont présenté leurs dernières solutions matériels et logiciels dans les ateliers du lycée Coëtlogon à Rennes.

Les sujets ont été nombreux et riches de sens tout au long de la journée, sous forme de 3 modules auxquels ont participé une cinquantaine de professionnels.

Lionel Hays, nouveau chef d’établissement arrivé en septembre, a accueilli le premier groupe de participants et a souhaité une collaboration rapide et efficace avec la branche pour adapter les formations des jeunes, pour une bonne employabilité et un contenu de formations correspondant aux attentes des professionnels.

Hervé le Chevalier, Mediator Organisation, a incité les acteurs de la filière graphique à travailler ensemble. Explications : « si l’on investit ensemble, la réduction des coûts de production permet alors d’améliorer la rentabilité des entreprises. C’est aussi le gage pour investir dans des nouveaux outils de production plus performants et offrant une gamme de produits plus élargie ». Le marché de l’édition et de la publicité a connu un léger sursaut qui ne compensera pas la baisse des années passées. Nous pouvons considérer que le volume actuel fera office de référence pendant quelques années. Le marché qui connaîtra le plus de progression est celui du packaging qui pourrait atteindre plus de 20 % du chiffre d’affaires pour un volume en progression de 30 %. Pour cela, il faudra continuer à créer des nouvelles solutions avec les emballages connectés et intelligents par exemple. Un point rassurant pour les acteurs de la filière, c’est la valeur papier. En effet, les sondages et études montrent un attachement de plus en plus important à ce support de par la sécurité des données et des échanges mais aussi face aux technologies numériques et des réseaux wifi fragiles, qui connaissent des risques élevés d’intrusions et de pertes ou vols de d’informations.

Samuel Tanguy de la société Bluewest est intervenu sur le thème de la digitalisation de l’imprimerie et le web to print. L’automatisation de la chaîne graphique avec des flux numériques est de plus en plus précise et indispensable pour gagner du temps. Traiter un fichier pour le contrôler avant impression est chronophage et générateur de risques d’erreur si l’exécution se fait manuellement. « Avec notre accompagnement, nous faisons un audit de votre solution existante, nous maintenons les outils qui fonctionnent et par notre expertise dans le métier, nous ajoutons des automates là où ils sont utiles». Samuel Tanguy a évoqué la solution Easycatalog qui fait gagner du temps dans la mise à jour de catalogue produits, avec la gestion de bases de données pour les publications web et print en instantané.

L’équipe enseignante du lycée a profité de cette journée pour échanger sur les attentes de la profession en termes de formation. Une présentation complète des méthodes de travail et des travaux réalisés par les étudiants a permis de reconnaître la qualité du travail accompli pour que les jeunes repartent avec des connaissances pratiques. Denis Olivry a profité de cet instant pour ouvrir les portes de l’établissement et faire ou refaire découvrir aux visiteurs l’équipement de pointe investit par le lycée.

C’est le Président de l’UNIIC Grand-Ouest, Jérémie Séjourné, qui a conclu la journée en indiquant sa satisfaction et remarquant que « bien qu’il soit de plus en plus difficile de faire sortir les chefs d’entreprises de leur entreprise, le succès rencontré par cette initiative conjointe ne pourra que faire regretter aux absents d’être passés à côté d’informations importantes pour leur avenir. Moi, comme la cinquantaine de présents, sommes repartis avec des pépites et des idées plein la tête ».

Contacts :

DIM UNIIC Grand-Ouest : Jérémie Séjourné – uniic.grandouest@gmail.com

Mediator Organisation – Hervé le Chevalier : Tel. 02 40 95 38 64 – www.mediator-organisation.com

Bluewest – Samuel Tanguy : Tel. 06 50 59 22 20  – www.bluewest.fr