Félicitations à H2D Didier Mary

Notre adhèrent de Mary/Marne est en effet le premier rotativiste Hélio et Offset à être certifié ClimateCalc. Rappelons que ClimateCalc répond à toutes les directives et recommandations européennes et que l’UNIIC assure sa mise en place dans toutes les entreprises (avec des tarifs préférentiels pour ses adhérents).

Il s’agit d’un système hyper simple et adapté à nos métiers créé par l’UNIIC pour la France (et par un consortium regroupant la Belgique, le Danemark, la Finlande, la Norvège, les Pays-Bas et le Royaume-Uni), qui a été conçu pour pouvoir, dans une approche cycle de vie, estimer les émissions de CO2 générées par un imprimé. L’objectif de ce calcul est d’identifier les principales sources d’émissions afin de définir des actions de réduction pouvant être mises en place par l’acheteur d’imprimés et l’entreprise graphique. Il permet ainsi aux imprimeurs de proposer à leurs clients de mentionner l’impact carbone sur leurs imprimés et dans un second temps l’estimation réalisée permettra à l’acheteur de compenser ses émissions. Conçu exclusivement pour les imprimeurs c’est un outil peu onéreux et d’une grande simplicité d’utilisation qui aide à mettre en avant les disparités d’impact sur l’environnement liées à de nombreux facteurs, notamment géographiques permettant ainsi aux donneurs d’ordres de choisir leurs prestataires en toute connaissance de cause.

Pour en savoir plus et pour obtenir un devis contactez matthieu.prevost@uniic.org  /

 

Print’Story – Episode 21

Antoine venait de terminer le tour des ateliers, comme il aimait à le faire dès qu’il en avait le temps. C’était un exercice auquel il s’astreignait au moins une fois par semaine, ce qui lui permettait de prendre la température sociale mais aussi de vérifier que les consignes de sécurité et d’organisation étaient respectées.

Et bien souvent il retournait à son bureau avec des revendications ou des demandes de rendez-vous. Aujourd’hui c’est Patricia, une opératrice PAO, qui lui a demandé de la recevoir rapidement. Antoine se doutait du motif de l’entrevue : il avait reçu le matin même un avis de saisie sur salaire des impôts la concernant et il supposait qu’elle voulait en parler… Antoine la reçût après avoir passé quelques coups de fil urgents :

– Alors Patricia, que puis-je faire pour vous ?

– Voilà Monsieur, je suis un peu gênée de vous demander ça mais j’aimerais savoir s’il vous serait possible de me verser mon treizième mois ce mois-ci au lieu de décembre ?

– J’imagine que votre demande a un rapport avec la saisie sur salaire que j’ai reçue ce matin… ? Ce n’est pas dans vos habitudes, vous avez des soucis financiers ?

– Depuis que je suis en procédure de divorce c’est un peu compliqué je vous l’avoue et avec les impôts qui ont augmenté depuis que je suis seule, j’ai du mal… D’ailleurs si vous pouviez ne me retenir que le minimum pour la saisie jusqu’en janvier ça m’arrangerait bien.

– Pour l’avance de votre treizième mois pas de souci, je vais faire le nécessaire. Mais pour ce qui est du montant de la saisie je ne pense pas que ce soit nous qui décidions, mais je vais me renseigner et vous tiendrai au courant. Vous auriez dû m’en parler avant, à l’avenir essayez d’anticiper car tout ça va vous coûter des frais supplémentaires.

Ils continuèrent à discuter encore pendant une dizaine de minutes et évidemment Antoine n’échappa pas à l’inévitable demande d’augmentation : il y réfléchirait car Patricia était un bon élément et elle méritait sans doute un petit coup de pouce, surtout dans sa nouvelle situation.

Mais au fait :

Qui décide du montant de la saisie sur salaire ?

L’employeur est-il tenu de s’y soumettre ?

Peut-il en minorer le versement ou l’étaler ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Iris DELLOYE, Responsable du service Juridique et Social de l’UNIIC – iris.delloye@uniic.org

Print’Story – Episode 20

Antoine avait soumis aux représentants du personnel le schéma d’implantation des différentes caméras dans les ateliers et sur le parking et ils avaient validé leur installation qui serait effectuée avant la fin de l’année.

Par contre, ils avaient exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation des enregistrements : ils craignaient que l’exploitation éventuelle des données mémorisées ne se retourne contre les salariés…

Antoine leur avait bien garanti qu’en aucun cas les enregistrements ne seraient visionnés et utilisés pour faire du « flicage ,» mais il se posait tout de même la question de savoir comment il aurait réagi deux ans plus tôt, quand un conducteur de plieuse avait eu la cheville fracturée en se cognant contre la fourche d’un tire-palette : l’accident avait été déclaré comme tel mais une indiscrétion laissait à penser que c’était en fait un aide-façonnier qui avait utilisé l’engin comme une trottinette, ce qui est évidemment formellement interdit, et était venu percuter le conducteur. Celui-ci n’avait pas voulu dénoncer son collègue et bien sûr les témoignages allaient dans son sens…

Antoine se disait qu’en visionnant « la bande » il aurait pu retracer la vérité…

Mais au fait :

Sous quelles conditions et dans quelle mesure pouvait-il utiliser les images enregistrées dans les locaux ou sur le parking ?

Les salariés pouvaient-ils s’y opposer ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Morgane SCHLAUDER, Juriste en Droit Social à l’UNIIC.

Des ordonnances bonnes pour la santé du papier… Mais qui donnent mal à la tête aux juristes de l’UNIIC !

Comme nous l’apprend le site Francetvinfo les ordonnances Macron sont à l’origine de la première édition intermédiaire du célèbre Code du Travail Dalloz : publié en effet depuis 80 ans au mois d’avril, il sera complété cette année par une édition supplémentaire qui verra le jour d’ici fin octobre pour coller à l’actualité. Ce qui aurait pu être une bonne nouvelle pour l’un de nos imprimeurs hexagonaux est malheureusement tempéré par la lecture de l’achevé d’imprimer qui indique une provenance d’un pays en forme de botte… La partie composition et le traitement informatique sont par contre toujours signés Jouve. Quant au Groupe Revue Fiduciaire  il a choisi de rester en France, chez Prenant, pour faire imprimer son non moins célèbre et si pratique Code du Travail  Annoté. Comme quoi c’est possible !

Pour notre service juridique aussi la digestion à marche forcée de toutes ces nouvelles lois a provoqué quelques migraines ! Mais rassurez-vous tout est en ordre et maîtrisé : nos adhérents ont déjà reçu notre Flash actualisé qui explique et commente les impacts de ces ordonnances dans vos métiers. Les nouvelles dispositions sont consultables sur notre site et notre service juridique les intègre déjà dans ses conseils et dans toutes les réponses aux nombreuses questions qui lui sont posées.

Print’Story – Episode 19

Antoine avait au moins obtenu l’accord des DP et DS (même si, croyait-il, il aurait pu s’en passer) pour installer un système de vidéo surveillance sur les parkings de l’usine, car il déplorait des vols et du vandalisme suite à l’intrusion de personnes étrangères à l’entreprise.

Il envisageait aussi de l’étendre à l’intérieur des ateliers mais pour l’instant les représentants du personnel étaient plutôt réticents.

Tous les devis des entreprises qu’il avait consultées  mentionnaient l’obligation d’une déclaration, voire d’une demande d’autorisation à la CNIL.

Il s’était déjà posé la question de savoir s’il aurait dû déclarer de la même manière son logiciel de GPAO dans lequel figure les noms de ses salariés et qui est en lien avec son système de badgeage  ainsi que son logiciel de paie et RH,  qui contient leurs données personnelles (adresse, date de naissance, situation familiale, qualifications, salaire…).

Mais au fait :

Quelles sont les règles et lois à respecter avant l’installation d’une vidéo surveillance ?

Faut-il consulter les représentants du personnel ?

Qu’en est-il pour les logiciels de gestion des temps et des présences ?

À qui déclarer et quels sont les risques en cas d’oubli ?

Lire l’article de l’UNIIC
Réponses élaborées par Morgane SCHLAUDER, Juriste en Droit Social à l’UNIIC – morgane.schlauder@uniic.org

 

Grand succès pour la Formation IDICG/SNCD : Fondamentaux et mise en œuvre du nouveau règlement européen sur les données personnelles (GDPR)

Grâce à l’UNIIC et au SNCD vous êtes nombreux à avoir pris conscience de l’importance du sujet et nous nous en félicitons.

Mais attention : les sessions du 28 septembre, 21 novembre et 5 décembre sont complètes.

Quelques places sont encore disponibles pour la session du jeudi 11 janvier : pour vous inscrire, merci de nous retourner ce bulletin d’inscription.

Print’Story – Episode 18

Cette histoire de pause cigarette avait fait beaucoup plus de remous qu’il ne l’avait imaginé : il cherchait une solution mais entre les salariés en poste qui ne prenaient pas leur pause, ceux en journée qui n’y avaient pas droit, les non-fumeurs, les gros fumeurs, les moyens fumeurs, c’était un casse-tête !

Plusieurs réunions avec les représentants du personnel avaient déjà eu lieu et il avait prévenu qu’il envisageait de décompter les temps de pause du temps de travail en obligeant les salariés à badger lorsqu’ils quittaient leur poste de travail. Il avait aussi évoqué la prise obligatoire de leur pause pour les salariés postés ce qui rallongerait les journées d’autant… Personne ne comprenait que pour un individu n’ayant pas respecté le règlement, tout le monde doive être “puni”, d’autant que ça ne résoudrait pas le problème de fond du respect des consignes…

Les échanges avaient été vifs et le DS lui avait laissé entendre que dans ces conditions, tous demanderaient le paiement rétroactif de ce qu’ils considéraient comme des HS, à savoir les vingt minutes de pause que personnes n’avaient jamais prises car reportées en fin de service !

Antoine se demandait s’il n’était pas allé trop loin et face à ce conflit larvé se décida à soumettre son cas à l’UNIIC.

Mais au fait :

Dans quels cas l’employeur est-il tenu d’accorder une pause ?

Selon quelles modalités ?

Le report en fin de poste est-il autorisé ?

Quid de la rémunération ?

Est-il possible d’éviter les arrêts de production tout en restant dans la légalité ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Morgane SCHLAUDER, Juriste en Droit Social à l’UNIIC – morgane.schlauder@uniic.org

Formez & informez vos collaborateurs à la sécurité

INSCRIVEZ VOS COLLABORATEURS !

Chaque salarié est acteur de sa propre santé et de sa sécurité, il ne doit pas interférer dans celles de ses collègues.

Le chef d’entreprise est garant de la santé physique et mentale de ses salariés et des règles d’hygiène et de sécurité dans sa propre entreprise.

Pour ce faire, l’IDICG favorise certaines formations inscrites dans le cadre des actions prioritaires de branche, qui feront l’objet d’une prise en charge non imputable sur les plans de formation des PME, à savoir :

Formations inter-entreprises PARIS, téléchargez les bulletins d’inscription :

5 et 6 octobre 2017 – BREVET SST

10 octobre 2017 – GESTES & POSTURES

A votre demande, ces formations peuvent être réalisées en intra.

Print’Story – Episode 17

Deux semaines…  Antoine avait réussi à prendre deux semaines de vraies vacances sans être pendu au téléphone ni obnubilé par ses mails. Il avait vraiment bien décompressé et son épouse avait beaucoup apprécié ces moments rares. Du coup, elle lui avait fait promettre de prendre une semaine en fin d’année, d’autant qu’elle aurait alors accouché.

Avec le recul, il se disait qu’il n’avait pas jusque-là assez fait confiance à ses proches collaborateurs alors qu’ils s’étaient bien débrouillés pendant son absence. Hervé notamment, son chef de fabrication, avait bien pris les choses en main aidé par Cathy et Serge. Le trio s’entendait bien et Antoine se promit de leur exprimer sa satisfaction par une petite prime. Et de réfléchir sérieusement à la demande d’Hervé qui lui avait demandé une formation en management lors de son entretien professionnel.

Il ne maîtrisait pas bien les arcanes de la formation mais il savait que l’UNIIC avait, au travers de l’IDICG, des spécialistes dans ce domaine et que des stages étaient régulièrement organisés, aussi allait-il les contacter et leur demander conseil.

 

Mais au fait :

Qui cotise, combien et pourquoi ?

Comment procéder pour faire prendre en charge la formation des salariés ?

Quelles sont les conditions à remplir ?

Les temps d’absence des salariés peuvent-ils être pris en compte ?

Est-il possible d’organiser des formations en interne ?

Comment sélectionner un organisme fiable ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Chantal RICHARDEAU, Responsable HSE à l’UNIIC, 
chantal.richardeau@uniic.org

Circular Challenge – Un concours d’innovation au service de l’économie circulaire

L’UNIIC est partenaire du « Circular Challenge », un concours d’innovation lancé par Ecofolio au service de l’économie circulaire. L’objectif ? Identifier et accélérer les pépites qui sauront révolutionner la filière papier, de l’association à la PME, du prototype au produit commercialisé. Deux Grand prix Accélérateurs seront décernés pour la catégorie PAPIER et la catégorie EMBALLAGE.

A gagner :

UNE VISIBILITÉ ACCRUE
Pour chaque finaliste, grâce à un dispositif de communication important et des partenaires institutionnels reconnus

L’ENRICHISSEMENT DU PROJET
Pour chaque finaliste, grâce à un accès immédiat à des experts, investisseurs et clients réunis lors d’un « bootcamp » dédié

UNE DOTATION FINANCIÈRE
Pour les deux lauréats, afin d’assurer la croissance du projet (40k chacun)

UN ACCÈS AU MARCHÉ ACCÉLÉRÉ
Pour les deux lauréats, grâce aux réseaux opérationnels de l’éco-organisme et de ses partenaires offrant des opportunités commerciales et industrielles (5 rendez-vous avec décideurs clés à choisir parmi une liste)

 

Pour accéder à la plateforme de dépôt des candidatures : http://www.circular-challenge.com/ 

Les candidatures devront être déposées entre le 7 septembre et le 6 octobre prochains.

Vous êtes adhérent de l’UNIIC et vous voulez vous donner toutes les chances ? N’hésitez pas à solliciter un accompagnement personnalisé auprès de notre service environnement.