Atelier créatif – embellir vos documents

Cloître Imprimeur était dans les locaux de l’UNIIC pour un atelier à la fois pédagogique et quasi-exhaustif sur les procédés de sublimation, finition et de façonnage.

Au programme : vernis, pelliculages, encres spéciales, gaufrage, marquage, dorure, découpes, micro-perforations, pliages, reliures… Une avalanche de possibilités présentées et illustrées avec soin, sans jamais oublier de pointer du doigt les erreurs à éviter, les associations de procédés malheureuses ou les défauts d’optimisation (des coûts, notamment).

Pendant trois heures d’un atelier pensé pour stimuler la créativité et permettre d’échanger autour d’exemples abondants, Anne-Emmanuelle Crivelli (animatrice) avait à cœur de présenter « 1001 idées pour embellir vos documents ». Promesse tenue, même si un éventail de possibilités techniques n’exempte jamais d’un travail en amont qui vise à marier au mieux le fond et la forme…

 

Parce qu’un client informé est un client heureux, depuis 2008, l’entreprise propose “les ateliers Cloître”:

  • Print différent ou les atouts de l’offset numérique
  • L’imprimé connecté, engagez vos clients avec la réalité augmentée
  • Les finitions et façonnages
  • Les pièges à éviter lors de la conception de fichiers destinés à l’impression

Des thématiques clairement destinées aux prescripteurs d’imprimé et si en augmentant leurs connaissances des arts graphiques les prescripteurs devenaient de vrais ambassadeurs ?

Pour plus d’information sur les prochaines sessions consultez le programme complet.

Print’Story – Episode 49

C’était son père qui avait fait passer cadre Céline depuis maintenant 20 ans. Exemple type de la façonnière partie du bas de l’échelle elle avait toujours été un atout considérable pour l’entreprise, ne comptant pas ses heures tout en accomplissant ses missions consciencieusement. Elle était de plus douée d’un sens de l’organisation hors du commun, savait jongler avec les plannings tout en impliquant la petite équipe dont elle était naturellement devenue responsable.

Comme son père Antoine n’avait qu’à se louer de ses services aussi quand Marie et Marc, deux salariés sous les ordres de Céline, demandèrent à son assistante Cathy qu’il les reçoive ensemble sans passer par les DP il se posa beaucoup de questions…

Après les avoir écouté tous les deux Antoine cru tomber de l’armoire : Marc lui avoua   « se forcer à venir travailler chaque jour » et Marie quant à elle considérait que travailler avec Céline « nuit à sa santé mentale ! ».

Antoine n’y croyait pas mais pourtant il dû se rendre à l’évidence : après les avoir interrogé discrètement, tous les autres salariés du service confirmèrent les agissements parfois odieux de Céline. Après avoir réuni les DP Sarah lui appris qu’ils avaient reçu quelques plaintes mais qu’avec eux Céline était très sympa et qu’ils avaient voulu temporiser…

Tout alla alors très vite : Céline, voyant sa place dans l’entreprise compromise, décida de prendre les devants et demanda à Antoine la conclusion d’une rupture conventionnelle.

Antoine accueilli cette demande avec soulagement, il n’aurait pas à la licencier !

Mais au fait :
L’employeur peut-il refuser une rupture conventionnelle demandée par son salarié ?
Quelle est la procédure à suivre dans le cadre d’une rupture conventionnelle ?
Quelles sont les indemnités que l’employeur verse à l’occasion d’une rupture conventionnelle ?
Le salarié peut-il bénéficier des allocations Pôle emploi ?

Lire la réponse de l’UNIIC

Réponses élaborées par Sabrina SEHRINE, étudiante en 3ème année de droit à l’Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne et stagiaire au service social de l’UNIIC . Elle a travaillé sous la direction d’Iris DELLOYE- NICLAS, responsable du service Juridique et Social de l’UNIIC – iris.delloye@uniic.org

ALERTE INONDATIONS – L’UNIIC mobilise ses services

En cette période difficile pour certains de ses adhérents, et plus largement pour les imprimeurs touchés par les inondations, l’UNIIC souhaite leur rappeler qu’elle mobilise ses services pour les aider dans la mise en œuvre de leurs contrats multirisques et pour la mise en place des solutions adéquates par rapport aux éventuelles mesures de chômage partiel qui seraient nécessaires.

Au sein des territoires touchés, et avec l’aide de ses Délégations Régionales Multisectorielles, l’UNIIC mettra en place les cellules d’entraide nécessaires comme elle l’a toujours fait en cas de crise, afin de recenser, quantifier et qualifier les préjudices subis pour accélérer les rapports avec les experts.

L’UNIIC vous assistera également le cas échéant dans la mise en place d’un éventuel PCA (Plan de Continuité d’Activité) en organisant la sous-traitance.

Si vous êtes concerné n’hésitez pas à contacter Matthieu Prévost à l’UNIIC au 01 44 08 64 37.

Print’Story – Episode 48

Serge était très content d’accompagner Antoine en Chine au salon All in Print et il lui avait demandé s’il était possible que son épouse l’accompagne et aussi d’en profiter pour rester un peu plus longtemps, à ses frais bien sûr, tout en prenant quelques jours de congés pour découvrir un peu plus en profondeur ce pays qu’il ne connaissait pas.

Comme Serge avait beaucoup de congés en retard Antoine n’avait pas formulé  d’objections d’autant qu’il avait lui aussi prévu de faire une surprise à sa femme en l’inscrivant au voyage. Il avait déjà organisé la garde des enfants avec ses beaux-parents et tout était calé car l’Uniic proposait une formule all inclusive.

Il avait évoqué le sujet avec son expert-comptable qui était un fervent adepte de la Chine et l’avait sillonnée dans tous les sens.

Au-delà des aspects touristiques du pays, celui-ci avait attiré l’attention d’Antoine sur la nécessité de clarifier la partie professionnelle  du déplacement de la partie loisirs : le bleisure était certes devenu monnaie courante pour motiver le personnel dans les entreprises mais il  valait mieux tout prévoir et notamment s’assurer que tous les risques étaient couverts…

Mais au fait :
Quelle est la situation d’un salarié en déplacement à l’étranger notamment en dehors des activités et horaires mentionnés dans la formule du « bleisure » ?
Que se passerait-il en cas d’accident lors d’une sortie privée dans un bar, un night-club… ?
Quelles dispositions prendre ?

Pour lire les réponses de l’UNIIC, rendez-vous dans la rubrique dédiée.

Réponses élaborées par Sabrina SEHRINE, étudiante en 3ème année de droit à l’Université de Paris I – Panthéon-Sorbonne et stagiaire au service social de l’UNIIC . Elle a travaillé sous la direction d’Iris DELLOYE- NICLAS, responsable du service Juridique et Social de l’UNIIC – iris.delloye@uniic.org

COGEPRINT : Imprimeur dans l’âme

Le 1er juin dernier l’UNIIC Tour réunissait les professionnels des industries de la communication au CARTIF à Tours.

 

Un événement voulu et accompagné par Sébastien Lemaire, Président de l’UNIIC Centre-Val de Loire. Un Président de région et impliqué dynamique et impliqué comme il l’est au bureau exécutif de l’UNIIC. Sébastien Lemaire nous recevait donc au CARTIF comme il nous avait reçu quelques temps auparavant pour visiter la PME qu’il dirige : COGEPRINT.

 

Suivez le guide…

Fondé en 1986, COGEPRINT est spécialisée dans la fabrication de chèques bancaires et plus particulièrement sur le marché de la lettre chèque. Le marché est porteur jusqu’au début des années 2000, puis les offres numériques (ou les paiements digitaux) passent par là et le marché du chèque enregistre une baisse constante de 5 à 10 % par an. Quand Sébastien Lemaire (ancien cadre de COGEPRINT) reprend la société en 2006 avec trois autres anciens cadres, SE DIVERSIFIER devient essentiel…

La diversification de COGEPRINT a pris 10 ans, rien de moins ! Le temps en fait de faire une nouvelle proposition à ses clients historiques comme à ses prospects. En 2006, la lettre chèque représentait encore 80% de l’activité ; en 2018, c’est moins de 50% de la production.

Les clients demandent aux industriels de devenir des prestataires de services. Paradoxal ? Peut-être mais il a fallu le devenir quand même. Réduire les volumes, intégrer de nouveaux services allant jusqu’à la dématérialisation. Le client se positionne, charge à COGEPRINT d’apporter la « boîte à outils ».


Mais attention COGEPRINT est toujours imprimeur, est avant tout imprimeur. Et c’est justement en s’appuyant sur son cœur de métier que l’entreprise a su proposer des services complets, une offre globale. A l’impression s’ajoutent l’édition, le routage et les « offres multicanal ».


Et partant de son expérience, Sébastien Lemaire est à l’origine de l’étude réalisée par IPSOS : Zéro papier : mythes et réalités présentée lors de l’UNIIC Tour. Il est plutôt bien placé, vous ne trouvez pas ?

 

Willkommen, bienvenue, welcome… à la FESPA

Le salon FESPA a eu lieu du 15 au 18 juin à Berlin. Et un salon est l’occasion de faire des rencontres.

Rendez-vous sur le stand FESPA pour la première rencontre. Michel Caza nous y attendait. Il vient de publier ses mémoires et les dédicaçait. Ça ne vous dit rien ? Si je vous dis Salvador Dali, Pierre Soulages, Andy Warhol ou Victor Vasarely ? Michel Caza est sérigraphe d’art depuis plus de 50 ans et revient avec beaucoup de magie sur ses grandes collaborations artistiques qui ont par leurs exigences fait considérablement avancer la technique (trames fine, encres UV…). Un parcours exemplaire pour en savoir plus cliquez ici.

De retour de notre rencontre avec Michel Caza, au détour d’une allée, nous tombons nez à nez avec… KBA. Qu’est ce que KBA vient faire là ? à la DRUPA d’accord mais à la FESPA ? Ils sont présents sur un petit stand sans machine mais présents tout de même. « Nous sommes venus parler de carton ondulé » indique Micheal Donnert. Ils présentent l’impression directe sur carton en haut volume. Pour lui nombre d’entreprises du secteur se spécialisent et atteignent des volumes suffisants. Certes mais rappelons que Koenig & Bauer est une entreprise allemande et que cette vision est probablement très vraie… mais pour le marché allemand.

Print’Story – Episode 47

Antoine était abonné à plusieurs hebdomadaires et il profitait généralement du week-end pour se mettre à jour dans leur lecture. Il ne trouvait malheureusement pas toujours le temps de lire tous les articles d’autant qu’il récupérait aussi quelques revues au salon Grand-Voyageur lors de ses déplacements en train. Il sélectionnait donc ceux qui l’intéressaient le plus mais avait de toute façon beaucoup de mal à les mettre au recyclage sans les avoir au moins feuilleté une fois.

C’est d’ailleurs en feuilletant l’une d’entre elles pendant un voyage en train qu’il avait été interpellé par un terme qu’il ne connaissait pas : bleisure. La lecture de l’article lui appris que le mot venait de la contraction de business qui signifie affaires et de leisure signifiant loisirs.

Antoine se souvint alors qu’il devait s’inscrire rapidement au voyage organisé par l’UNIIC pour visiter la Drupa chinoise et se dit qu’il s’agissait bien là d’un exemple de bleisure

Et il avait pris la décision d’y emmener Serge, son Chef de Fabrication. C’était une façon de le remercier pour son implication mais il souhaitait surtout que celui-ci l’aide à trouver les idées et le matériel innovant qui pourraient permettre à l’entreprise de se démarquer.

Mais au fait :
Antoine pouvait-il prétendre à une prise en charge de ces voyages et sous quelles conditions?
À qui s’adresser et comment faire ?

Lire la réponse de l’UNIIC
Réponses élaborées par Mariama BEGUITE, Responsable de la coordination administrative et pédagogique à Agefos PME-CGM

All In Print, les inscriptions sont ouvertes !

Les inscriptions sont ouvertes !

Connue comme la “Fenêtre orientale de l’industrie mondiale de l’imprimerie”, cette Drupa chinoise sera l’occasion de faire le point depuis la dernière Drupa. C’est qu’il s’en est passé des choses en Europe : robotisation, intelligence artificielle, fusions de constructeurs historiques, disparition de fournisseurs, évolutions technologiques, améliorations des vitesses et des process, nouvelles techniques… Pendant ce temps, les constructeurs asiatiques ne se sont pas endormis et même si leurs percées sur nos marchés restent timides, l’intention est là au travers de la mise en place d’importateurs et de clients “tests” sur notre territoire et en Europe. Avec un argument de taille : le prix ! Le mieux est donc d’aller voir sur place et de comparer : ils seront tous là, les constructeurs asiatiques mais aussi ceux du monde entier, pour permettre de repérer les dernières innovations adaptées aux besoins des entreprises et à leurs moyens.

Alors prenez une longueur d’avance : réservez dès aujourd’hui !

Les places étant limitées les inscriptions seront honorées par ordre d’arrivée.

Téléchargez le programme All In Print

Téléchargez le bulletin d’inscription Shanghai 2018

En partenariat avec :

 

Mai 68 : Sous les pavés… la sérigraphie

Une exposition à l’école des Beaux Arts de Paris fait renaître l’iconographie de mai 68. 50 ans après promenons-nous dans l’Atelier populaire qui a vu naître plus de 600 affiches en quelques semaines.

Le 8 mai à l’initiative des élèves architectes, un comité de grève se constitue à l’école des Beaux Arts. Certains artistes du salon de la jeune peinture rejoignent les étudiants. Et le 14 mai 1968, ils impriment une première affiches en lithographie. Gérard Fromanger, averti de la présence d’une presse litho à l’étage, tire 30 exemplaires de l’affiche UUU (Usine. Université. Union.)

Fromanger souhaite vendre les affiches au profit des étudiants. Mais les manifestants en décident autrement et se saisissent des affiches pour les placarder sur les murs. Il ne s’agit plus de tirage d’art, le nouvel objectif est de communiquer. Qu’à cela ne tienne, Rougemont revient des New-York et connaît la sérigraphie. Il croise Eric Seydoux, jeune sérigraphe de “Paris Art”. Et le soir même est tiré cet emblématique poing levé.

Les à-plats de couleurs de la sérigraphie font vibrer la créativité des artistes et des étudiants. “La technique a imposé son moyen d’expression” dit Eric Seydoux. “On est 200 devant lui et on trouve ça magique, miraculeux.” raconte Gérard Fromanger. L’effet est immédiat, l’efficacité est redoutable. L’atelier Populaire devient une vraie ruche. Le soir même, 4 ateliers de sérigraphie sont montés.

Un cadre, une racle, de l’encre, des fins de bobine de papier journal pour le support et des cordes à linge pour le séchage. “la simplicité et la rapidité de fonctionnement ont un rôle important. Ceux et celles qui sont là peuvent tous s’y mettre” précise Eric Seydoux. Bientôt des délégations venues des usines, des universités, des lycées viennent présenter leur lutte et réclamer des affiches. Et l’Atelier Populaire prodigue information et conseils pour l’ouverture d’autres ateliers. Après une activité intense, l’Atelier ferme ses portes le 27 juin à 5 heures. Mais prévenu par un policier, amateur d’art, des dispositions ont pu être prises et une dernière affiche sera réalisée au siège du PSU: La police s’affiche aux Beaux-Arts, les Beaux-Arts affichent dans la rue.

Les Beaux-Arts affichent… L’exposition Images en lutte a lieu jusqu’au 20 mai 2018 aux Beaux-Arts de Paris.

UNIIC’COLOR

Alors que de nombreux imprimeurs européens travaillent conformément aux normes de qualification du processus de travail et de la qualité du produit fini, la France est à la traîne… Et notamment en matière de standardisation colorimétrique.

C’est pourquoi l’UNIIC propose sa solution collective baptisée UNIIC’COLOR : un accompagnement professionnel, une prise en charge à 70 % et un reste à charge minimum doivent permettre aux imprimeurs français de rejoindre le peloton de tête des imprimeurs européens en matière de colorimétrie.

Pour être éligible à notre offre vous devez être une TPE ou une PME et être à jour de vos contributions au Fonds de Développement. Et si vous êtes adhèrent de l’UNIIC vous bénéficiez d’une remise spéciale.
Le but d’UNIIC’COLOR est de vous accompagner dans votre démarche de standardisation colorimétrique en 3 étapes :

• établir un diagnostic après audit ;
• permettre la mise en place d’une standardisation conforme à la norme ISO 12647-2 (pour le procédé offset) ;
• faire attester de sa validité auprès des organismes certificateurs si l’entreprise souhaite relever de la certification.

Nous avons choisi une équipe pilotée par le Meilleur Ouvrier de France “Technicien de plateforme prépresse” 2015, doublé d’un expert certifié UGRA qui accompagne les entreprises pour l’obtention de la certification PSO, en la personne de Christophe Villar, Directeur de Projet chez Graphic Audit Consulting.

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